" La vie apparait comme le plus beau des cadeaux et le dépassement de soi, le meilleur cap vers le bonheur "

Livre : Du crash à la voltige - Ma méthode pour atteindre vos rêves

Enlevez quelques nuages, et le ciel s'éclaircit !

Ne renoncez jamais à vos rêves… Celui de Dorine aurait dû se briser net. À seize ans, elle est la seule survivante du crash du Piper dont elle est passagère. Elle perd l’usage de ses jambes. Pas sa passion pour l’aviation : à vingt ans, portée par une inaltérable foi en son rêve, elle obtient son brevet de pilote. À quarante, elle est la première femme handicapée à devenir pilote de voltige : une voie où elle est pionnière, comme Mermoz ou Saint-Exupéry, ses héros de l’Aéropostale. Depuis, elle a fondé son association, réuni une équipe. Elle a appris à manager pour gagner. Et elle a gagné.
Aujourd’hui, forte d’une carrière de conférencière qui rencontre un succès grandissant, elle partage sa méthode. Une méthode optimiste et énergisante, fondée sur la bienveillance et sur la prise de risque, avec la joie comme moteur et dont la devise pourrait être, ainsi que Dorine le dit souvent à sa fille Charline, l’autre passion de sa vie :  » Fais reculer l’impossible, tu ne le regretteras pas. « 

Livre : Au-dessus des nuages

Et si la vie était comme le golf, une question de handicap ?

Un jour Sammy Davis Jr, qui était, en plus de ses talents artistiques, très doué pour le golf se voit, sur un Green, poser la question « Quel est votre Handicap ? » et Sammy Davis Jr de répondre : « Handicap ? Je suis juif, je suis noir et je suis borgne ; cela ne vous suffit pas ? »

Et si un jour on posait à chacun de nous la même question : « et vous ?, Quel est votre handicap ? » que répondrions-nous ? Pour ma part, je répondrais que j’ai eu trois handicaps : j’étais plutôt timide, je suis une femme et je suis paraplégique…et j’en ajouterais peut être un quatrième : je suis une grande rêveuse.

Quand on veut évoluer dans l’aviation être une femme est déjà un premier « handicap », l’Ecole Nationale de l’Aviation Civile de Toulouse, voie royale pour devenir pilote n’a été ouverte aux femmes que dans les années 70. Et l’aviation reste aujourd’hui encore un milieu où les femmes sont trop peu nombreuses…Puis à 16 ans je perds l’usage de mes jambes dans un accident d’avion dont je suis la seule rescapée. Autre handicap encore plus grand que les autres pour une petite fille un peu timide qui rêve de devenir pilote…

Livre : La couleur préférée de ma mère

La formidable leçon de vie d'une jeune pilote d'avion paraplégique.

D’aussi loin qu’elle se souvienne, Dorine Bourneton a toujours rêvé de voler. Pourtant, à seize ans, son rêve vient se briser les ailes contre un massif du mont Mézenc, en Haute-Loire: seule survivante du crash du petit Piper dont elle était passagère, elle perd l’usage de ses jambes. Mais pas sa passion pour l’aviation.Dix ans plus tard, Dorine est pilote brevetée. Elle a plus de cinq cent cinquante heures de vol, et, au sein de la commission Pilotes Handicapés de l’Aéro-club de France qu’elle préside, elle se bat pour que la France reconnaisse aux pilotes handicapés le droit de faire de leur passion leur métier. Entre-temps, elle a concouru avec succès dans de nombreux rallyes, dont celui du Sénégal, participé au Tour de France en avion, suivi des stages en Californie, perfectionné son art auprès des plus grands instructeurs. Et appris à vivre en fauteuil roulant sans se laisser enfermer dans aucun ghetto malgré les paradoxes d’une société qui fait tout pour sauver des vies, mais se préoccupe fort peu de l’avenir qu’elle propose à ses grands accidentés.

C’est ce parcours hors du commun qu’elle raconte ici, avec sensibilité et émotion, colère parfois, humour souvent. Remontant aux sources d’une enfance douloureuse qui a laissé en elle des traces indélébiles, son récit fait découvrir une petite fille à fleur de peau, qui a trouvé chez ses grands-parents l’affection que ses parents, endurcis par un métier difficile (ambulanciers de campagne), n’ont pas su lui donner. Entre autobiographie et journal intime, « La Couleur préférée de ma mère » est aussi le regard lucide mais tendre d’une jeune femme avide d’avenir qui veut faire la paix avec son passé.